Sur la photo : les sergents Marc Tessier, Claude Denis, Aurélie Guindon et Mélanie Dumaresq, Mme Christine Martin, les lieutenants Martine Asselin et Jason Allard, Mme Isabelle Buisson et les sergents Jean Tremblay, Stéphane Tremblay et Daniel Thibaudeau, du Service des communications avec les médias, en compagnie au centre du responsable de la Direction des communications et des relations internationales, l’inspecteur-chef Pierre Allaire
La crise est un sujet médiatique porteur. C’est l’une des raisons pour laquelle près d’une centaine de communicateurs d’urgence provenant de différents milieux se sont rassemblés pour le 25e colloque de formation annuelle du Regroupement des communicateurs d’urgence, à Saint-Adèle les 26 et 27 avril dernier. Le principal objectif de cette formation est de permettre le partage des bonnes pratiques en matière de communication d’urgence.
Cette année, c’était au tour des communicateurs de la Sûreté du Québec d’accueillir leurs confrères. Plusieurs présentations ont permis d’approfondir les notions existantes pour accomplir le travail de porte-parole et de relationniste avec les médias avec aisance, professionnalisme et rigueur.
Les participants ont assisté à une conférence donnée par Me Jean-Pascal Boucher, procureur du Directeur des poursuites criminelles et pénales, sur les limites à respecter en communications publiques afin de ne pas nuire au processus judiciaire.
Ils ont également bénéficié d’une conférence portant sur le partenariat avec les communautés autochtones. Le sergent Martin Gaba, du Bureau des affaires autochtones de la Sûreté, s’est adressé aux porte-parole et relationnistes de l’ensemble des corps policiers présents afin de leur donner des outils pour mieux comprendre les réalités autochtones.
Le regroupement des communicateurs d’urgence compte maintenant plus de 150 membres provenant de différents milieux tels la sécurité publique, les ambulanciers, les pompiers, le ministère de la Défense, le contrôle routier, les centres jeunesse et plusieurs autres.